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En tant que tel, sous l’Ancien Régime, il bénéficiait de privilèges particuliers, en l’occurrence celui de posséder un colombier. Outre le plaisir de consommer de la viande de pigeon, le guano récupéré de son élevage pouvait être une source de revenu non négligeable pour ses seigneuries : revente, ou amendement des sols de cultures. Télécharger la pièce-jointe

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La mare actuelle de Crécy ne figure pas sur les plans de 1752 et 1755. Mais les points d’eau étaient nombreux au temps de Mme de Pompadour. Et Crécy a su conserver sa dernière mare. Télécharger la pièce-jointe

Le potager de VERJUS s’étendait sur environ 16 240 m2. Celui de Mme de POMPADOUR sur environ 14 260 m2, portant la surface totale cultivée en potagers à environ 3 hectares et demi pour répondre aux besoins des occupants du château et du village. Télécharger la pièce-jointe

Elle abritait au XIX° une petite entreprise de forge et de petit matériel agricole, avant de devenir maison d’habitation. Télécharger la pièce-jointe

Ne subsistent plus du château que les anciennes cuisines. Le château a été démantibulé à la Révolution par Daniel Parker qui l'a revendu en pièces détachées. - Image de restitution : ©Franck devedjian-27/10/2016 » - Travail en collaboration avec la restitution du château. Cf. Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Cr%C3%A9cy

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Sous le règne du roi Louis XV (1710-1774, roi de France de 1715 à 1774), un vaste chantier de restructuration du réseau routier a été effectué dans le Royaume. A cet effet de nombreuses routes ont été dotées de bornes, ancêtres de nos bornes kilométriques actuelles.

La première place de marronniers de Crécy a été plantée semble-t-il vers 1730 par Alexandre Verjus, comte de Crécy. Elle a été replantée après la tempête de 1999. Télécharger la pièce-jointe

Cette ruelle possédait un puits d’une certaine authenticité, désormais disparu abritant probablement une citerne. Télécharger la pièce-jointe