Née au 1er janvier 2013, la communauté de communes du Pays du Saintois est issue de la fusion de la communauté de communes du Saintois, de celle du Mirabée et de la Pipistrelle ainsi que des trois communes de Gerbécourt-et-Haplemont, de Quevilloncourt et d'Houdreville.
 
Établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre, la communauté de communes a pour objet d'associer ses 55 communes membres dans un même espace de solidarité, de coopération et de défense des intérêts communs, et ce, en vue d'élaborer un projet de développement et d'aménagement de l'espace.
Tout en préservant l'indépendance de ses communes membres, la communauté de communes permet d'effectuer un développement plus vaste dans les différents domaines qui relèvent de ses compétences : le développement économique et social, l'amélioration de l'habitat, l'aménagement de l'espace, la gestion des ordures ménagères…

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Crantenoy, village rue, est traversé par la Départementale n° 9. Il est situé à 3 km d’Haroué, 15 km de Vézelise, vers l’ouest et 8 km de Bayon vers l’est. À 2 km, un accès à la voie rapide Nancy-Épinal est un atout intéressant pour se diriger vers le nord (Nancy à environ 30 km) ou le sud (Épinal à environ 45 km).
Le territoire communal a une superficie de 528 ha, sans surface forestière. Cultures et prairies occupent les zones agricoles. Une porcherie est installée à l’écart des habitations.
Crantenoy fait partie de la Communauté de Communes du Pays du Saintois,  du Canton de Meine au Saintois et de la 5e circonscription de Meurthe et Moselle.
Les enfants sont scolarisés à Haroué car il n’y a plus d’école primaire au village depuis les années 1960, Crantenoy faisant partie de l’un des premiers regroupements pédagogiques du département. C’est ensuite le collège de Bayon qui accueille ces enfants.
•01/02/1971 : Crantenoy devient Les Mesnils-sur-Madon suite à sa fusion avec Ormes-et-Ville et Vaudigny
•08/04/1987 : Les Mesnils-sur-Madon devient Crantenoy suite au rétablissement d'Ormes-et-Ville et de Vaudigny.
À l’écart de la rue principale, deux zones pavillonnaires sont composées l’une de 7 parcelles et l’autre de 6 parcelles. L’ancien faubourg Saint Charles, en contrebas de l’église, fut bien plus important au XIXe siècle. 
Il existe un logement communal, pour l’instant huit logements locatifs privés et un gîte de France. Seules trois maisons sont inoccupées.
Le Revaux, ruisseau qui traverse le village, a donné son nom à l’association dont les objectifs sont les rencontres conviviales entre habitants, l’accueil d’autres personnes lors de manifestations par exemple, la connaissance et la protection du patrimoine local.

En 1993, la commune a adopté le blason du Baron Martin de Chevers, ennobli par le duc de Lorraine Henry II en 1623. « D’argent, à trois chardons fleuris au naturel, la terrasse de sinople, au chef d’azur, chargé d’un loup d’or et d’une étoile de même au franc canton ».
Martin de Chevers avait épousé Marie Feriet, veuve de Jean Saulnier, un des petits seigneurs locaux. Ce qu’il reste de la demeure seigneuriale, du XVe siècle probablement, est près de l’église.

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