Les anciens combattants et les anciens d’AFN de la commune se rassemblent à l’occasion du 8 mai et du 11 novembre au monument aux morts, place de la Mairie.Nous avons un devoir de mémoire à perpétuer les commémorations des guerres afin de ne pas oublier tous les disparus pour la France et les honorer par notre présence.« Transmettre la mémoire pour se souvenir et pour rester fidèle à nos anciens», tel est le message de la municipalité.

ANCIENS COMBATTANTS - ANCIENS AFN

Créée en juin 1996, la Communauté de Communes du Castelrenaudais est un Etablissement Public de Coopération Intercommunale (EPCI) regroupant 16 communes situées au Nord-Est du département de l’Indre-et-Loire.

Ses missions s’articulent, en lieu et place des communes membres, autour de compétences obligatoires définies par la loi, ainsi que de compétences optionnelles et facultatives que les communes ont bien voulu lui transférer. Au quotidien, de multiples projets se concrétisent dans des domaines aussi variés que le cadre de vie, l'économie, l’environnement, la petite enfance ou les services à la personne.

Toutes les actions mises en œuvre contribuent au rayonnement de l’espace intercommunal et à l’amélioration des conditions de vie de ses habitants.

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AUZOUER-EN-TOURAINE [37110] est une commune rurale située dans le département de l'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire. Les habitants sont appelés les auzouériens et les auzouériennes. Elle fait partie de la communauté de communes du Castelrenaudais dont le chef-lieu est Chateau-Renault. Sa densité est de 65 habitants au km2.
ARCHIVE : Tiré du nom latin Oratiorium (Oratoire), c’est au néolithique que l’on a retrouvé les premières traces de l’existence d’Auzouer-en-Touraine, situées dans la partie Nord-Est du département d’Indre et Loire, à 30 km de Tours, Blois et Vendôme.
Il a porté les noms de : Parochia d'Oratorio (1265 et 1271, chartes de l'abbaye de Gastines), Ozouer (1335, cartulaire de l'archevêché de Tours), Orouer (1366) et Ozoer (1466). Le vocable Auzouer apparait au 16ème siècle et le qualificatif « en Touraine » est ajouté en 1961. Ce fief relevait de la châtellenie de Château-Renault. En 1698, l'ancienne maladrerie a été réunie à l'Hôtel-Dieu de Tours. Ce village apparait pour la première fois au 13ème siècle sous le nom de Oparochia d'Oratorio dans une charte de l’Abbaye de Gâtines. Il est aussi construit sur des sites gallo-romains.
Avec 3400 hectares sur laquelle sont implantées une douzaine d’exploitations agricoles à vocation céréalière, ce territoire rural ne l’a pas empêché de miser, par le biais de la communauté de communes du Castelrenaudais, sur le développement économique avec des entreprises mondialement connues comme Synthon, Radiall, Forbo. D’autre part, la montée en puissance de la zone d’activités « La Rivonnerie » aux Portes de Touraine, proche de l’autoroute A10, va impulser une dynamique économique de ce territoire et ce, grâce aux implantations des plateformes logistiques d’Intersport et de GLD.
PATRIMOINE ANCIENS MONUMENTS:L’église Saint-Martin, du 11ème siècle a été remaniée au 17ème siècle et élargie. Ce qui explique la position du portail ouest, inscrit aux inventaires des monuments historiques. Les vitraux proviennent de l’atelier Lobin de Tours. Le clocher, qui menaçait de tomber, a été détruit en 1899. L’existence d’un lavoir et de nombreuses caburoches, ou loges de vigne, sont les témoins d'un petit patrimoine bâti intéressant et d'anciens vignobles. D’ailleurs, un ouvrage a été consacré à ce sujet.
Plusieurs châteaux privés existent mais ne se visitent pas. Celui de la Guêpière bâti à partir du 14ème siècle. Le château du Haut Villaumay du 19ème siècle, entouré par des écuries. Et enfin, le château de Pierrefitte du 17ème et 19ème siècle, où se trouve un dolmen dans le parc qui est un vestige très ancien datant de l’époque néolithique. Il est composé d’une table de 3 m de long sur 2 m de large. Les blocs sont en grès. Des fouilles ont été entreprises en 1843 par M. le Comte de Baillivy. Ce dolmen a été inscrit aux monuments historiques en 1887 en tant que « Menhir » du château de Pierrefitte.
Source : Gérard Cordier « inventaire des mégalithes de la France, partie Indre-et-Loire » 1963.